Un groupe de travail nommé par le gouvernement a découvert un important réseau de trafic d'organes opérant depuis l'hôpital Mediheal, impliquant son propriétaire, l'ancien député Dr. Swarup Mishra, dans des transplantations illégales de reins et dans le commerce d'organes. L'enquête a révélé que des centaines de chirurgies rénales sont sous surveillance, avec des défaillances de supervision du Conseil des praticiens médicaux et dentistes du Kenya (KMPDC) ayant permis ces activités illicites. Le groupe de travail a recommandé des poursuites pénales contre le Dr. Mishra et a appelé à des réformes urgentes, notamment la mise en place d'un programme national de don d'organes décédés et un contrôle plus strict des installations de transplantation. Le ministère de la Santé a suspendu les services de transplantation rénale à Mediheal et a redirigé les patients vers d'autres hôpitaux. Le scandale a également soulevé des inquiétudes concernant les enquêtes parlementaires compromises et la pénurie désespérée d'organes pour les patients au Kenya.
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